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mardi 1 mars 2011

Opal'in virtualisation innovante

A ma connaissance, la virtualisation existe sous deux architectures :

Type 1



La virtualisation est une application du système d’exploitation Linux ou Microsoft Windows. C’est à partir de ce logiciel qu’il devient possible de créer une machine virtuelle dans laquelle sera installée un système d’exploitation. C’est un système de virtualisation dit « Host-Based ». Il est basé sur un « hôte ». En d’autres termes, il est exécuté sur un système d’exploitation hôte.
Avantages :
- Facile et rapide à installer
- Supporte de nombreux périphériques car il s’appuie sur les pilotes fournis par le système d’exploitation.
Inconvénients :
- Performances lié aux nombres important de couches logiciel :
* Démarrage long
* Délais importants pour les accès disques et mémoire.

Type 2



Le système de virtualisation fait lui-même office de système d’exploitation. Ils sont appelés « bare-metal », c’est-à-dire, proche du matériel.

Avantages :
- Les performances sont meilleures car le micro noyau de l’hyperviseur consomme moins de ressources.
- Les pilotes de périphériques ont été optimisés afin d’exécuté des machines virtuelles.
Inconvénients :
- Existence d'un micro noyau intégré à l'hyperviseur qui nécessite son exécution malgré son optimisation.
- Certains matériels ne sont pas pris en charge.
- Il n’est pas toujours possible d’exécuter ce type de système sur des postes de travail.

Type 3



La virtualisation est intégrée dans un micro noyau qui lui même remplace un BIOS (gestion des I/O)directement en mode 32 ou 64 bits.

Avantages :
La virtualisation est très rapide.
Possibilité de fonctionner en une seule étape selon la taille de l’applicatif
(BIOS 1Mo – 64 Ko utilisé)
Inconvénients :
Tous les pilotes (drivers) ne sont pas reconnus.
Il est nécessaire de faire un développement (portage) sur mesure selon la carte industrielle utilisée pour remplacer le BIOS 16 bits actuel.

Pour conclure :

Le type 3 (Type 2 évolué)semble avoir un avenir pour les industriels pour des aspects sécurité, économie d'énergie, performance.

Opal'in présenté en Février 2011 apporte des arguments pertinants et susceptibles de lui donner un avenir prometteur :

Taille de code très faible : 64 Ko (Moins de lignes de codes améliorent : Performance, taille mémoire, tests de validations et qualifications, Audit,...)
OS Multi-tâches : processeurs jusqu’à 64 cœurs
Gestion indépendante ou groupée des cœurs « cores »
Combinaisons dynamiques (ou statique) des cœurs pour accélérations des processus
Routage intégré
Hyperviseur intégré
Possibilité de pré charger plusieurs ‘Guest – Machines Virtuelles’ au démarrage
Gestion de systèmes d’exploitations identiques ou différents en mode virtio actif
Permet une gestion optimisée de la consommation (arrêt total ou mode veille)
Possibilité remplacement du BIOS 16bits, par un 64 bits (Opal’in) avec gestion des I/O en 64 bits (chargement SATA direct en 64 bits)

Cold Boot inférieur à 3 secondes
Pré chargement d’un ou plusieurs GUEST/VM au démarrage
Pas de coupure TCP : avantage pour la VoIP par exemple.
Réduction de la consommation – arrêt total avec redémarrage automatique transparent.
Guest/VM indépendantes :
Isolation des services et applications
Meilleure stabilité du système par des modules clients indépendants.
Contrôle des évolutions et services : mise à jour simplifiée et possibilité de faire cohabiter deux ‘guest’ identiques (redondance logicielle).
Gestion drivers « hardware » BSP :
Simplification des différents ‘Guest’ sans driver matériel.