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dimanche 12 décembre 2010

SaaS - Garantie de ne plus jamais perdre vos données

Après Androïd Cloud to Device Messaging (C2DM), Le géant du WEB, GOOGLE démontre l'intérêt du CLOUD en réalisant une phase pilote avec les premiers notebook sous le système d'exploitation CHROME OS qui stock toutes les données dans un disque virtuel(CLOUD).

Actuellement 85 000 bêtatesteurs utilisent CHROME OS en bêta version. Copier le lien en anglais de CHROMEOSSITE :
http://chromeossite.com/2010/10/15/the-future-of-chromium-os-an-interview-with-hexxeh





Le succès sera certainement au rendez-vous en raison des nombreux intérêts :

- Un ordinateur portable sans bruit, sans mécanique (SSD), grande autonomie, démarrage rapide (moins de 10 secondes), interface intuitive et simple (on va droit à l'essentiel), un poids léger et un écran confortable (12 pouces).
- Internet est de plus en plus accessible (Box Internet à la maison, réseaux WIFI, 3G, satellites, zones blanches,...). Le notebbok intègre le 3G et le WIFI. De plus, des solutions fiables et économiques de redondances automatiques de liens Internet existent (SYSWAN TECHNOLOGIES).
- De nombreuses applications ne sont pas installées sur la machine mais accessible via le Cloud (moins de ressource CPU-mémoire-stockage utilisées). Des accords avec CITRIX pour ouvrir encore plus d'offres dématérialisées.
- Le cloud utilisé par un netbook sous Chrome OS sera accessible de n'importe où depuis n’importe quel netbook embarquant l’OS. En cas de vol ou de défaillance : aucune perte des documents.
- Les premiers constructeurs partenaires de GOOGLE qui vont proposer mi-2011 des Notebooks avec CHROME OS sont SAMSUNG et ACER.

Copier le lien de GOOGLE :
http://www.google.com/chromeos/pilot-program-cr48.html

dimanche 5 décembre 2010

Salon nautique: Internet n'importe où et à tout heure



Analyse de la situation dans les ports de plaisance pour les bateaux amarés qui souhaitent se connecter à Internet.

On constate souvent à l’usage quelques difficultés pour se connecter dans de bonnes conditions. En effet, les hotspots (bornes) ne sont pas identiques en terme d’installation et d’équipements. Le wifi a souvent une portée utile assez faible.
De plus, de nombreux ports n’installent qu’un point d’accès unique.

La résultante : Les bateaux stationnés au voisinage immédiat de la capitainerie ont une connexion correcte, alors que ceux amarrés à 100 ou 150 m n’arrivent pas à  se connecter, ou obtiennent un signal trop faible (débit inutilisable) sans compter sur les fréquentes coupures.

Pour mieux capter le signal WIFI d’un HOTSPOT, il faut placer sur un point haut à l’extérieur du bateau (toit de la timonerie, mâtereau, arceau porte-antennes) une antenne fixe omnidirectionnelle de 8 DBi pour constater un gain. Point à contrôler : Electricité iso voltaïque avec la terre du bateau (terre même potentiel partout) et ajouter vernis pour les équipements externes.

Une petite visite au salon nautique pour découvrir un stand spécialisé dans la sécurité en mer qui propose une solution innovante pour switcher automatiquement du satellite vers le WIFI pour les bateaux en mer qui s'approche d'un port (capitainerie)et/ou d'un réseau EDGE/3G vers le WIFI pour les bateaux côtiers. Les produits SYSWAN Technologies sont utilisés et mis en valeur dans le concept présenté : Une antenne omnidirectionnelle performante associée directement à un client WIFI OUTDOOR (répéteur d'un hotspot) connecté en Ethernet à un routeur DUOLINKS ou OCTOLINKS (port WAN 1) et un terminal satellite et/ou modem edge/3G au port WAN 2 du routeur DUOLINKS ou OCTOLINKS avec comme avantage un accès redondé automatiquement et une répartition de charge automatisée selon la détection du signal et des paramètres de débit minimum.
Il est indiqué que le routeur SYSWAN TECHNOLOGIES est compatible également pour gérer des liaisons LTE, WIMAX, BLR, MIMO,...
Ci-dessous les exemples de toplogies présentés :
Satellite ou 3G vers WIFI

Satellite et 3G vers WIFI avec évolutivité maxi 8 liens WAN

Dimensionner sa liaison internet

Une TPE ou PME qui souhaite accéder à des services SaaS doit principalement prendre en compte le dimensionnement de sa liaison Internet. Analyser les services critiques et ceux qui le sont moins. Mettre en place un niveau de sécurité adapté aux besoins.
Mon expérience auprès d’un Opérateur Télécom m’a poussé à étudier la problématique du Backbone : débits utiles et sécurité de nos besoins Internet.
Une synthèse a été présentée en phase 1 avec le choix de trois constructeurs après avoir effectué un appel d’offres, comparé les différentes solutions (une dizaine de solutions), constitué un tableau des coûts, analysé les technologies via des tests internes (avantages et inconvénients). En phase 2 : Mise en place d’un pilote opérationnel avec vérification d’aptitude au bon fonctionnement (VABF) préparée, planifiée et vérification de service régulier (VSR).
Notre sélection s’est orientée via le constructeur-éditeur SYSWAN Technologies qui a su proposer une solution industrielle fiable, économique et simple à déployer.
La solution retenue sont des routeurs de répartition de charge avec redondance automatique et possibilité de construire des tunnels sécurisés (VPN IPSEC) pour notre liaison avec le DATA CENTER, les partenaires et certains employés en mode télétravail sécurisé après validation en CODIR des personnes autorisées.



Après avoir effectué un transfert de compétences réalisé auprès des opérationnels avec une procédure documentée, nous avons déployé un premier site pilote client en hôtellerie avec également uneVABF et une VSR, puis une dizaine de sites pour finalement valider industriellement les produits DUOLINKS et OCTOLINKS sur de très nombreux sites clients.

Ayant suivi le constructeur dans ses développements. J’ai découvert son nouveau produit OCTOLINKS SW88 VPN qui apporte une solution d’agrégation de liens site à site pertinente avec une redondance matérielle (VRRP). Cette solution a attiré mon intérêt car elle répond à un besoin croissant de bande passante site à site et cela de manière économique et redondée.
Test effectué entre une PME à Montreuil (93105) et son usine (bureau d’études – CAO –DAO) à TROYES (10000) : Quatre liaisons ADSL 2+ ont été agrégés sur chaque site (Quatre tunnels droits cryptés - voir schéma ci-dessous).



Un algorithme de compression a été utilisé pour réduire le poids des envois. (En moyenne un dossier avant était de 24 GB maintenant 12 GB).
Le débit WAN (Internet) a été considérablement augmenté, les temps pour envoyer et réceptionner des plans et schémas sont nettement plus rapide. Le temps de travail a été mieux optimisé pour un budget réduit : 1000 € FAS et un OPEX mensuel de 270 € (135 € siège et 135 € usine).

dimanche 21 novembre 2010

Hébergement - solutions et acteurs majeurs

Hébergement d'un service WEB

Héberger son service WEB chez soi n’est plus rentable pour les raisons suivantes : Le flux montant (WAN) est souvent limité, le niveau de sécurisation est plus faible avec un risque plus élevé au piratage, le courant n’est pas redondé et le serveur doit rester allumé et disponible 24H/24H,...

Un site WEB hébergé sans virtualisation implique des contraintes lourdes et de nombreuses restrictions (impossibilité d’installer les applications de votre choix, souvent HTTPS non disponible, le choix des ports autre que le port 80 pour des pages ou services WEB est rarement disponible, les bases de données sont souvent limités à MYSQL sans avoir accès aux logs de la base de données, ni au logs du serveur WEB.

IaaS : Hébergement de machine virtuelle XEN, VMWARE et bientôt ACID OS avec son hyperviseur placée sur des serveurs en lame sont les solutions les plus attractives (voir par exemple les serveurs IBM eX5 qui sont des plateformes X86 évolutives :
http://www-03.ibm.com/systems/fr/info/x86servers/ex5/index.html).
Avantages : Choix d’une certaine quantité de mémoire, de capacité de stockage (avec possibilité d’évolution pour s’adapter à la charge dynamiquement), une adresse IP dédiée et une liaison à très haut débit avec possibilité de redondance. Installation d’un système d’exploitation de notre choix (Redhat, Debian, Suse, Ubuntu, Fedora...) avec un accès ‘root’ sur le serveur pour avoir un accès complet et libre en SSH (ligne de commande, transfert de fichiers, accès console,…)
Inconvénients : Responsabilité de la sécurisation de votre serveur et compétence nécessaire en administration du serveur et de sa sécurité.

De nombreux hébergeurs de machines virtuelles sont disponibles :
Gandi.net / Ikoula.com / Serveraxis.com / Tonbnc.fr / Slicehost.com / Monvps.fr / Tektonic.net / Bitfolk.com / Cheapvps.co.uk / Rimuhosting.com / Linode.com / …

On retiendra des offres attractives auprès d’IKOULA en France et de LINODE aux Etats-Unis et en Europe. Plus de 48% des déploiements pour LINODE sont sous Ubuntu, 24% sous Debian, 16% sous CentOS, 4,3% sous Fedora, 3,1% sous Gentoo.
LINODE a la plus forte progression comme hébergeurs de machine virtuelle. (10 000 CPU cores pour 22 000 GHz, 4500 TB de stockage et 3 200 000 ‘host jobs’ exécutés.
Son offre est attractive (512 Mo de mémoire RAM, un stockage de 16 Go, un trafic de 200 Go /mois pour 19,95 $ /mois) ce qui le projette comme un acteur pertinent vis-à-vis des deux grands leaders du marché qui continuent à faire des gains importants :
Une progression de 2,6% par mois depuis les deux derniers mois.




Dans les graphiques ci-dessus on remarque la façon dont les fournisseurs de nuages se classent parmi les 500 000 premiers sites web. Peu de choses ont changé (AWS et Rackspace dominent nettement), sauf que le nombre global ne cesse de croître : le nuage a plus que doublé (De 3635 sites hébergés en août 2009 à 7845 aujourd'hui). On notera également la forte progression de Linode.

Pour conclure, les hébergeurs de machines virtuelles ont un marché très porteur. De nombreux éditeurs et développeurs utilisent déjà pleinement la virtualisation avec comme recommandation de ne pas mettre tous les œufs dans le même panier. Cette précaution permet d'éviter des actions de maintenance préventive et parfois corrective.

La virtualisation accélérateur de l'IPv6

La virtualisation des machines virtuelles communicantes en IaaS (plateforme matérielle partagée et flexible : paiement à la consommation, provisionning automatique, infrastructure ‘green énergie’) augmente le besoin d’adresse IP (1 machine virtuelle = 1 IP) et pousse l’IPv4 dans ses retranchements (le nombre d’IPv4 est une ressource limitée en raison de son codage en 32 bits (permet d'utiliser un peu plus de quatre milliards d'adresses différentes pour connecter les ordinateurs et les autres appareils reliés au réseau) en novembre 2010 il ne reste plus que 4% d’adresse IPv4 utilisable dans le monde entier. Voir camembert de découpage des blocs d’adresses IPv4 publiés en Octobre 2010 par Mro dans Wikimedia Commons ci-dessous.



IPv6 est la solution idéale en raison de son codage en 128 bits (4 fois plus d’adresses qu’IPv4) mais également QoS, Multicast et IPsec font partie de la spécification de l’IPv6 au lieu d’être des ajouts ultérieurs pour l’IPv4.
Voir les explications sur le site de WIKIPEDIA : http://fr.wikipedia.org/wiki/IPv6

Le problème c'est que personne n'a vraiment fait le pas essentiellement pour des raisons de coûts et également tout nouveau service a nécessairement besoin d'une IPv4 qui reste compatible avec tout ce qui existe.
Dans une première phase, les fournisseurs d'accès à Internet utilisent des tunnels qui encapsulent les paquets IPv6 dans des paquets IPv4 (via 6in4 ou GRE) pour traverser les groupes de routeurs qui ne prennent pas en charge IPv6.

Vous trouverez sur le site de Hurricane Electric, un compte à rebours en temps réel : http://ipv6.he.net/statistics/

Toutes les applications développées aujourd'hui pour le CLOUD doivent impérativement prendre en considération l'IPv6.

mercredi 13 octobre 2010

SaaS multiplateformes et intéropérables



La rapidité de pénétration et le succès des services SaaS dépendent notamment des :

- multitudes d'accès en mobilité (compatibilité sur les plateformes IPAD, IPHONE, SMARTPHONE, Ordinateur portable,...)

- interopérabilités avec les acteurs majeurs du CLOUD (Amazon, Twitter,..)via des API et accords entre les intéressés.

Je vous recommande de découvrir les vidéos et communiqués presse de l'agence SPEEDFIRE qui en parle avec justesse :

http://www.speedfirenetwork.net/cloudnews/

jeudi 30 septembre 2010


Un concept innovant pour le IaaS et SaaS à étudier de près.. Une entreprise française va sortir en Q1 2011 un Bios-Hyperviseur 64 bits qui s'occupe de la partie IP 'Routage des paquets' avec des performances impressionnantes (temps de démarrage, nombre de tâches simultanées réalisables via le processeur, gestion différentiante de la signalisation,...). Sa maquette actuelle permet de virtualiser des applications sous tous types d'environnement (Linux, Windows, Mac OS X)tout en conservant le pilotage (mise à jour, maintenance). A découvrir sur le site de l'entreprise de services : TECWEC qui dispose de la licence de commercialisation du micro noyau ACID OS.

Acid OS est actuellement utilisé par des constructeurs et équipementiers pour les futurs produits et a fait l'objet d'un comparatif confidentiel avec les autres OS du marché. Les informations qui ont été recueillies indiquent un niveau de sécurité élevé (pas de zone de supervision), un code réduit (moins de cent kilos), un journal d’envoi des signaux, une solution garantissant la propriété du code (pas de code libre ou appartenant à différents propriétaires…). A suivre…

mardi 10 août 2010

Messagerie en mode SaaS


La messagerie est devenue un logiciel accessible comme un service (SaaS) le plus utilisé.



Toutefois, il faut comparer les acteurs et éviter les pièges des solutions économiques qui dans le temps soit ne le sont pas, soit implique des ajouts de services payants qui augmentent les coûts.

Les outils web 2.0 ne cessent de prendre de l’importance et d’augmenter leur nombre d’utilisateurs. Le courrier électronique est actuellement le moyen de communication incontournable des entreprises. Il est très présent dans nos vies personnelles et professionnelles, ils nous accompagnent en mobilité et cela quelque soit notre activité. Réseau social, messagerie instantanée, blog,… sont complémentaires de l’email. Ils ne le remplacent pas mais permettent de communiquer d’une autre façon.

Choisir une messagerie en mode SaaS implique de comparer les services proposés tant au niveau du support, de la surveillance et de la sécurité.

Filtrer les messages entrants et sortants avec un traitement anti-virus et anti-spam. Mise à jour continue des données combinée à une surveillance système 24H/24H et 7J/7J afin de garantir un service anti-virus et anti-spam ultraperformant. Des analyses de contenu par gestion de liste blanche (Whitelist), le scoring des messages, l’identification des émetteurs (bases ORDB et RBL), des algorithmes bayésiens,…
Une gestion fine de la zone quarantaine (rétention des emails qualifiés comme suspects). Rapport détaillé des derniers messages stoppés. Supervision de l’utilisateur pour qualifier les messages de manière définitive ou pas. Objectif : se débarrasser des emails indésirables et optimiser le service de messagerie.
Disposer d’un plan de continuité d’activités, garantir la sauvegarde des flux d’emails entrants et sortants de l’entreprise (archivage automatisé qui préserve des risques de suppression de données et conserve toutes les informations sensibles selon les critères définis par l’utilisateur).
L’intégration doit être la plus transparente dans tous types d’architectures et environnements. Une compatibilité la plus ouverte possible avec notamment les serveurs de Messagerie : Exchange, Notes, Zimbra…http://www.blogger.com/img/blank.gif

Ayant testé pour des usages professionnels, la solution de ALINTO version Pro. Elle m’apparait être une excellente solution professionnelle qui propose une combinaison de services collaboratifs (agenda, contacts et fichiers partagés), associés à des services web 2.0 (Twitter, Doodle,…): http://www.alinto.com


Les freins principaux concernent la protection des données, les problèmes de confidentialités, aggravés par l’arrivée de services collaboratifs. Les entreprises tiennent à conserver un caractère privé à leurs échanges professionnels. Il faut pouvoir apporter des garanties de pérennité (SLA) afin d’éviter des éventuelles défaillances ou problèmes de performance.

vendredi 23 juillet 2010


Olivier DUHAMEL, CEO de la société VISUOWL a commenté sur LinkedIN mon commentaire sur le filtrage SaaS :

Il manque un argument de poids dans l'analyse d'une décision d'investissement basée sur une simple approche financière CAPEX / OPEX : le coût de l'information livrée et des thématiques de recherche par l'externalisation du filtrage de données à partir desquelles vous ou le prestataire chez qui vous avez externalisé la solution, pouvez construire des profils. L'accès à l'information et la gestion de l'accès à l'information n'est pas qu'un coût, c'est aussi une activité génératrice d'externalités positives et négatives (Value VS Cost).

Merci à Olivier DUHAMEL pour son commentaire pertinent et justifié. Effectivement des précisions sont nécessaires pour expliquer le fonctionnement d'une solution de filtrage en mode SaaS Premium, il est proposé à l'administrateur de l'entreprise de personnaliser une configuration par défaut : Interface en 7 langues, Plus de 50 catégorisations, 1 page de blocage par défaut. C'est à l'administrateur de définir ses profils, ses choix de catégorisation, définir et limitez les temps de connexion en ligne pour chaque utilisateur, restreindre et limitez les téléchargements, contrôler les applications P2P, personnaliser à façon une ou plusieurs pages de blocage. Des prestations externalisés ou pas sont réalisables pour une prestation complète ou partielle. (Value VS Cost).

Une prestation complète implique une sensibilité à des points de sécurité, de confidentialité et de maîtrise externalisée. (Cette solution est rarement sélectionnée).
Il est fréquent qu'une prestation partielle soit mise en place pour la personnalisation de plusieurs types de pages de blocage.

Les plus intégrés dans une offre SaaS Premium concernent :

1)Un service de déblocage unique et permanent 24H/24H et 7J/7J. Les erreurs de sur filtrage sont corrigées en moins de 15 minutes.
2)L'utilisation de plusieurs bases de filtrage pour une efficacité accrue. Un maximum d'efficacité dans le filtrage web, grâce des analyseurs intelligents multilingues basé sur la formation et le perfectionnement des techniques de l'intelligence artificielle, permettant le suivi et classement de façon dynamique du contenu sur Internet.
3)La mutualisation des coûts et une volumétrie de clients qui permet d'offrir un service plus économique qu'une solution propriétaire.

Après avoir consulté le site WEB de VISUOWL et découvert son concept de visualisation simplifiée et temps réel de la santé de vos infrastructures (topologie réseau, domotique, autres). Son approche interactive apporte des moyens de contrôle, des indicateurs de performance et d'optimisation des coûts. Je vous recommande de visiter son site WEB de VISUOWL : http://www.visuowl.fr

A découvrir prochainement, la nouvelle offre de filtrage SaaS WANGARDEN

samedi 10 juillet 2010

Filtrage WEB local ou en mode SaaS

Des nouvelles sur des services pratiques et indispensables pour les entreprises, lieux publics, établissements scolaires : Filtrage WEB

Je suis maintenant certifié en solution de filtrage en mode SaaS alors une petite découverte simplifiée.

Que choisir ? Une solution d'un Editeur à installer localement et à maintenir (coût important pour un suivi fiable et efficace). Une solution soit-disante gratuite avec des listes statiques non actualisées (qualité médiocre)ou encore une solution externalisée en mode SaaS avec des catégorisations et un filtrage dynamique intégrant de l'analyse sémantique. Un tableau explicatif pour analyser financièrement une solution gratuite et une solution en mode SaaS :



Comment déployer une solution de filtrage SaaS sans intervenir sur site ?
Le point fondamental concerne le choix du routeur WAN qui doit permettre de réaliser une fonction de proxy transparent pour rediriger tout le trafic HTTP (port 80)ou HTTPS (port 443) via un nom de domaine ou une adresse IP Publique. Il existe de nombreuses solutions compatibles, celle que j'ai testé personnellement est un routeur SYSWAN SW88 avec un Firmware spécifique.

mardi 8 juin 2010

IaaS Public Cloud vs Cloud Privé



Iass Public Cloud : comme décrit précédemment c’est une architecture mutualisée avec les avantages suivants :
Simplicité, Flexibilité, Disponibilité, Economie
Cloud Privé: Architecture dédiée totalement ou partiellement
Point faible : Si le pool de ressources de votre infrastructure dédiée arrive à saturation, il faut attendre la disponibilité d’un serveur ou module supplémentaire (capacité de stockage par exemple)
Cela permet de préconiser des architectures hybrides selon les besoins, la durée des projets et surtout la criticité des données.

Conférence SaaS en Mai 2010




Evolution du SaaS

SaaS 1.0 : Nombre d’applications sont limitées, Gain de déploiement, Infrastructures mutualisés, DVP « multi-tenant » ‘multi location avec possibilité de customisation’, Réduction du cout de possession « TCO ».

SaaS 2.0 : Marchés verticaux et écosystèmes SaaS, Customisation et Personnalisation des Workflows, Solutions intégrées, Virtualisation des applications et des serveurs, Plateformes de développements SaaS (PaaS), Infrastructures SaaS (IaaS), Plateformes Cloud Collaboratives

Cloud Computing : Ensemble des processus en Cloud, Portabilité (Virtualisation sur terminaux mobiles), Niveau d’engagement plus important (SLA), Business Process contrôlés, managés et mesurés, Plateformes connectés à des HUBS Intelligents, Customisation forte, Mise en place de processus de soutien (Concept PRaaS)

Les grandes familles du SaaS

L’infrastructure en tant que service, l’IaaS (Infrastructure as a Service) représente la couche basse (domaine de la vitalisation).
Consommer de l’infrastructure en temps que service sans se préoccuper de la technologie sougacente. Achat de capacité infrastructurelle.

Au dessus on trouve la plate-forme, qui peut aussi être délivrée sous forme de service. C’est le concept du PaaS (Platform as a Service).

Puis, intervient la couche logicielle, utilisable là encore sous la forme d’un service, le fameux SaaS (Software as a Service).

Il est possible qu’une couche future apparaisse : Processus comme un service, PRaaS (Process as a service) qui concerne non seulement l’entreprise, mais également des acteurs externes, clients, prestataires ou fournisseurs. Le PRaaS pourrait devenir une réponse complète pour gérer l’intégralité d’un processus et utilisé par les personnes des métiers concernés.

Les grandes familles du SaaS sont destinés à ?

IaaS : Responsable Production – Architectes Réseaux

PaaS : Développeurs d’application – Développeurs

SaaS : Responsable des Etudes – Utilisateurs Finaux

PRaaS : Responsable activités – Direction Métiers (module conceptuel)
Exemple AMIANDO qui prend en charge toute la réalisation d’un événement ou d’une conférence et cela en quatre langues (français, anglais, allemand, espagnol). A son actif plus de 70 000 événements déjà réalisés. Des outils émergents pour créer des processus avec par exemple : RunMyProcess, Visiativ avec Vdoc Software.


Marché
Avant d’introduire le marché, il faut reprendre la stratégie de vouloir utiliser l’IT comme un service.
Les clients disposant déjà de leurs outils adopteront l’IaaS. Ceux souhaitant créer des applications se fixeront naturellement sur des offres PaaS. Enfin, les sociétés désirant simplement ‘consommer’ des produits finaux seront particulièrement sensibles aux offres SaaS.
Le concept de service PRaaS sera disponible directement sur le Cloud et utilisé par les personnes des métiers concernés directement.
Les applications du SaaS sont principalement :
- La gestion de relation client (CRM) : Salesforce, SugarCRM, Aspaway,…
- La vidéo conférence : WEBEX, TIXEO,…
- La gestion des ressources humaines : Aragon-eRH, Cegid, …
- Les communications unifiées, le travail collaboratif, les contenus,‘les courriels’ Webmail, PIM et Collaboration : Google Apps, Microsoft Exchange Serveur 2010, IBM Lotus iNotes, Cisco Unified Communication,….
- La sécurité : ScanSafe, BinarySEC, Websense, …
- Les progiciels de gestion intégrée (ERP) : PGI SAP, JDE, ORACLE, AXAPTA, PEOPLESOFT, SIEBEL, DIVALTO
- Gestion de la chaîne d’approvisionnement (Supply Chain Management) : Englobe l’ensemble des fonctions de gestion de la logistique, allant du planning à l’entreposage (Salesforce,…)

Activités mondiales du SaaS

Une progression du SaaS proche de 18% en 2009.
Les applications WEB (CCC) détiennent le haut du chiffre d’affaire suivi du CRM.
SaaS vers EaaS
De nouveaux sigles en "XaaS" apparaissent.
Quelques exemples ?
VaaS (Video as a Service, une solution proposée par Interxion et Microsoft),
RaaS (Rack as a Service, un mode de facturation de l'infrastructure par fragments de racks, concu par TelecityGroup,)
TaaS (Téléphonie as a service, des offres de téléphonie en mode SaaS : SEWAN Communications, Teambox, VoIP Télécom
PRAaaS : le plan de reprise d'activité est délivré en tant que service par les principaux opérateurs de télécommunications.
CaaS : Confidentialité comme un service avec une jeune entreprise ETSEM pour l’authentification forte, le cryptage,…

lundi 19 avril 2010

Différence entre le SaaS et le Cloud Computing

Le Cloud Computing est une commodité délivrée par un fournisseur donné, et offrant une infrastructure globale d’exécution d’applications sur internet. Donc de la capacité processeur (pour faire tourner les applications), du stockage (pour stocker les données) et de la bande passante (pour gérer les accès utilisateurs). A la différence d’un hébergeur normal, qui va vous louer un ou plusieurs serveurs, une capacité de stockage limitée et de la bande passante limitée, les fournisseurs de cloud computing jouent sur la mutualisation de leurs ressources et offrent des capacités illimitées sur tous les plans, avec possibilité de progression immédiate (scalability en anglais).

Les applications et leurs données tournent quelque part sur internet, mais on ne sait plus où, tellement les data center de ces compagnies sont gigantesques. Cette notion de cloud computing est née à partir des gigantesques infrastructures qu’ont conçus les géants américains de l’internet, et l’un des premiers a été Amazon qui a très tôt sorti son service S3 de stockage en ligne facturé à la consommation, son service EC2 de machines virtuelles et un service de bases de données. Google a su proposer une interface qui donne accès directement à son interface Cloud sans utiliser des machines virtuelles.

Pourquoi la notion de cloud est-elle si importante ? Elle a ouvert une nouvelle dimension à la gestion des ressources informatiques, en s’affranchissant de toute barrière physique. Plus de limite en terme de CPU, plus de limite en terme de stockage, plus de limite en terme de bande passante, toutes les applications seront hébergées à terme chez quelques gargantuesques data center répartis dans le monde, et cette facilité deviendra aussi courante que l’est l’eau ou l’électricité.

Différence entre les solutions SaaS et les solutions ASP ?

Les solutions SaaS sont nativement développées sur des architectures multi-tenantes (=mutualisées), alors que les ASP sont des applications passés d’un modèle software classique au mode hébergé. Quelle différence ?

Un système multi-tenant utilise une seule instance logicielle, qui est partagée entre tous les utilisateurs de la solution. Cela signifie qu’une application est utilisée par plusieurs personnes, ce qui permet de réduire les coûts de maintenance et de mises à jour. Le modèle ASP est lui fondé sur plusieurs instances logicielles, une par utilisateur pour être exact. Cela signifie que chaque nouveau client doit attendre que son fournisseur installe la nouvelle instance, créée spécialement pour lui. Les coûts et les délais de déploiement sont donc plus élevés que dans le modèle SaaS. Même scénario pour les mises à jour, puisque celles-ci sont réalisées par instance.

Sur un aspect financier, le SaaS n’est pas un investissement pour une entreprise mais un coût de fonctionnement qui permet d’externaliser intégralement une partie de leur Système d’Information (la messagerie par exemple).

dimanche 28 mars 2010

Services SaaS - NOC Opérateur WIFI

Pour les Whispers, le service SaaS a tout son intérêt

Un service SaaS pour dématérialiser des cartes prépayées (suivre en temps réel l'état des consommations, les différentes périodes de réactivation des cartes, la mutualisation des services unifiés (Wifi, téléphonie, achats WEB,...) avec possibilité de fournir différents niveau d'administration et de personnalisation

Un service SaaS pour fournir un outil de suivi des consommations Wifi mais également l'accès à des services activables à la demande et des contenus dynamiques customisables.

Un service SaaS pour fournir une application de GMAO qui facilite les déploiements, le suivi technique de chaque prestataire mais également pour le fournisseur un moyen de suivi personnalisé : nombre d'interventions, des études, des installations, des devis,...

Un service SaaS pour fournir des services sur mesure autour de la sécurité : Antivirus, Antispam, Antispyware, Antipishing, Filtrage Web, Filtrage applicatif,...

Un service SaaS Centre d'appels pour les clients en assistance premier niveau, pour les partenaires en assistance niveau deux.

...

Evolution du SaaS

C'est à la fin des années 1990 que les services ont évolués en mode ASP (Application Service Provider).
Accepter l'accès à une solution généraliste à la location est peu flexible en personnalisation.

L'évolution vers une informatique de services customisables (SaaS) est inévitable en raison de la convergence de deux facteurs principaux :
  • La connexion en réseau des infrastructures
  • la maturation des technologies de virtualisation

Les avantages sont nombreux pour les clients :
  • On ne paye pas une licence pour possèder un logiciel mais pour son utilisation personnalisée ou pas en mode locatif (service à la demande)
  • Les couts sont moins importants : Tarification adaptée au nombre d'utilisateurs ou au nombre d'IP Publique(s) utilisée(s) - pas de frais de maintenance
  • Réduction des coûts d'implémentation et déploiement plus rapide dans l'entreprise
  • Accessibilité depuis n'importe quel poste informatique et un simple navigateur WEB

Les avantages sont également quantifiables pour les prestataires de services :
  • Le vendeur acquiert un retour d'expérience pour remontée rapidement des évolutions dans les applications SaaS en raison de la diversité et du grand nombre ses clients.
  • Le coût des applications est ventilé sur de nombreux clients
  • La possibilité de mutualiser les services et les offres