Un extrait des principales questions posées à William PECNIK, fondateur de TECWEC SYSTEM
Pourquoi le nom d'Opal'in ?
Origine du nom : OPALE : pierre précieuse qui indique l’espoir / IN : Dans le vent
OPAL’IN est un Bios 64 bits protégé qui remplace un Bios, un Système d’exploitation et un Hyperviseur de niveau 2+.
Pouvez-vous nous indiquer la différence entre un hyperviseur de niveau 1 et un hyperviseur de niveau 2 ?
Le type 1, l'hyperviseur est intégrée à l'OS hôte et ne nécessite pas de « système d'exploitation hôte ». Microsoft Hyper-V et VMware ESX Server sont des exemples courants d'hyperviseurs de type 1.
Le type 2, l'hyperviseur requiert un système d'exploitation hôte. En règle générale, un hyperviseur de type 2 s'exécute principalement en tant qu'application en mode utilisateur sur son système d'exploitation hôte. Microsoft Virtual PC et VMware Workstation sont des exemples courants d'hyperviseurs de type 2.
Hyperviseur de type 2+ c'est quoi ?
Actuellement la virtualisation est basée en trois étapes :
- BIOS avec un bootloader
- Un système d'exploitation qui s'exécute
- Chargement d'une application de virtualisation
Opal'in est un hyperviseur de type 2 évolué (+ par son innovation : il démarre en une seule étape et dans un temps exceptionnel inférieur à 1 seconde).
La plupart des BIOS sur une carte mère ne sont pas modifiables, développés bien souvent en assembleur. Démarrage lent et parfois défaillance à l’initialisation des composants.
La virtualisation actuelle implique la cohabitation d’un système d’exploitation qui démarre après le BIOS (Windows / Linux / Unix) puis s’exécute la couche applicative de virtualisation (performance et fiabilité sont dépendantes du système d’exploitation et de la gestion de la signalisation).
Pas de visibilité possible en cas de baisse de performance ou instabilité d’une machine virtuelle.
Pas de cloisonnement juridique et sécuritaire.
Le type 2+ est un hyperviseur de type 2 à une étape
Pouvez-vous nous donner les principaux avantages de votre hyperviseur ?
Rapidité : Temps de démarrage quasi transparent, moins d’un seconde avec l’interface graphique
(IHM) – pas de dépendance à un système d’exploitation.
Performance : Analyse en temps réel de l’Hyperviseur pour optimiser les ressources matérielles.
Possibilité de faire fonctionner plusieurs clients virtuels sur un seul serveur.
Les ressources matérielles seront utilisées au mieux selon la charge.
Stabilité et une sécurité accrue : un plantage d’un client virtuel ne bloque pas les autres. De même, un virus contaminant un client virtuel ne touchera pas les autres. Le contrôle de l’hyperviseur permet d’anticiper le redémarrage d’un client virtuel : En cas de défaillance ou de fort ralentissement possibilité de lancer en parallèle une deuxième cession client afin de remplacer la première non opérationnelle à 100% et garantir une continuité permanente des services.
Flexibilité : Possibilité de faire fonctionner des applications anciennes, de mixer des versions de noyau (kernel) récents et anciens. Simplifier les mises à jour distantes, la supervision et le portage pour les développeurs via l’hyperviseur natif.
Solution innovante et différentiante : positionnement stratégique sur un marché à forte concurrence.
Une équipe R&D disponible pour accompagnement et transfert de compétences avec
possibilité de crédit d’impôt pour le client afin de financer les développements et/ou portage.
Ouvert : pas besoin de développer sur différentes architectures. La virtualisation permet de faire fonctionner son application sous toutes les plateformes souhaitées (Linux, BSD, Windows, Unix, MS-DOS,…), de réduire le temps de validation et de maîtriser une unique plateforme.
Merci à William pour ses réponses.
Souhaitons à Opal'in de trouver de nombreux écrins.
