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dimanche 1 juillet 2012

Durée de vie des données stockées ?


A la lecture d’une remarque pertinente de Pascal ANDRE, Directeur Technique chez Plasmon OMS
« Les HDD et les SSD sont très conviviales, rapides, pratiques pour faire des back-up, mais surement pas stocker, archiver, de manière permanente, cad ex pour 50 ans. Seuls des disques optiques en verre gravé comme nous faisons (GLAZT, HLD DVD5 et 10) ont été testés au LNE et résistent au temps, inusables à la lecture et au temps. Comme Back-up, le SSD est très bien. »

Pour compléter le dossier HDD /SSD et répondre à Pascal ANDRE.

Vous trouverez une analyse sur la durée de vie des données stockées selon le média utilisée et comment mieux les conserver :

La durée de vie d’un disque dur va dépendre de la qualité des composants, du temps et de l’intensité d’utilisation.
Un disque dur de qualité professionnelle  à 7200 tr/min avec un fonctionnement intensif 24H/24H et 7J/7J a une durée de vie moyenne entre 5 et 7 ans.

Défragmenter un disque dur réduit le temps d'accès aux informations mais use considérablement la mécanique du disque, il suffit d'écouter la valse des têtes pour s'en convaincre. Recopier des informations d'un répertoire à l'autre dans une même partition ne recopie absolument pas les données, il n'y a que le fichier index du répertoire qui est déplacé.  Soit utiliser deux partitions différentes ou mieux encore, une architecture RAID pour que les données soient  dupliquer sur un autre disque physique (en cas de panne d’un disque dur, les données ont toujours disponibles sur le deuxième disque).  

Un disque dur arrêté a une durée de conservation sans comparaison avec un disque actif : si on ne s’en sert pas,  la mécanique ne s'use pas. Par contre, les des données magnétiques se démagnétisent lentement si aucune activité. Il suffit de relire, de copier, de réécrire les données de temps en temps et on ralenti sa démagnétisation. Il n’est pas rare de trouver des disques durs avec une durée de vie de 10 ans

Avec le temps les données se démagnétisent.  On constate une dégradation de la surface enregistrée ou le support plastique qui se dépolymérise.  

Pour une clé USB le principe est similaire, les cellules finissent par oublier l'information stockée, si on la réécrit de temps en temps c'est plus fiable. Pour que les effets d’oubli soient plus lents, il est recommandé de choisir de meilleurs composants (critère de qualité). En moyenne la durée de vie est de 10 ans avec en moyenne un million d’effacement pour une mémoire flash.

Un SSD a une durée de vie préprogrammée qui va dépendre du type de celulles de Nand Flash embarquées et de la quantité de données que vous allez écrire et surtout à quel rythme. Plus on va écrire  sur un SSD, plus on va altérer les cellules qui perdent leurs capacité de rétention des données. 
Une cellule de NAND Flash ne peut en effet subir qu'un nombre limité d'écritures avant de simplement devenir inutilisable. La durée de vie est  en moyenne de 10 ans.
Un disque dur autorise plus facilement la récupération des données qu’un SSD. 
La récupération des données pour un SSD est souvent étroitement liée à l’interaction entre le contrôleur et le Firmware.

Alors, comment faire et quoi utiliser ?

Trois approches sont possibles :


1) la plus couramment employée et également recommandée : Faire des sauvegardes systématiques en adéquation avec la taille de l’entreprise :

Pour le stockage important de données : architecture NAS ou SAN  + une solution de sauvegarde/restauration qui intègre souvent une solution classique de bandes physiques de type LTO. Fondation solide pour la protection des données.

Pour le stockage en mobilité, utilisation de clés USB et d’un espace en Cloud via un accès Internet. Personnellement la sauvegarde est parfois ennuyeuse à réaliser (on a tendance à oublier de la faire).

C’est pourquoi CREATIV-HT préconise deux sauvegardes automatiques différentielles :

  • L’une paramétrée en automatique pour tous les équipements connectés au réseau (serveurs, poste fixe de travail, tous les postes mobiles et supports amovibles dès détection et analyse des répertoires définis à sauvegarder).
  • L’autre « backup » sur le Cloud (type dropbox) pour avoir un endroit différent en cas d’incendie par exemple. Le prix d’un disque externe ou d’un espace de stockage dans le nuage du Cloud sont des solutions accessibles et fiables.

2) Pour les entreprises qui n’ont pas de budget pour un LTO ou SDLT. Il est possible de réaliser des sauvegardes manuelles avec des médias vierges avec un substrat de qualité (exemple DVD-R avec un substrat à base d’or pour une durée de vie de 8 à 10 ans).

 

Le type de support peut varier selon le besoin de sauvegarde et son budget : Pour des sauvegardes de moins de 20 Go, utilisation de DVD-5 (composé d’une face et d’une couche de stockage avec une capacité de 4,7 Go) ou DVD-9 (composé d’une face et de deux couches de stockages avec une capacité de 8,5 Go).

Le DVD-10 (composé de deux faces et d’une couche par face avec une capacité de 9,4 Go est moins courant dans le commerce. Comme le DVD-18 (composé de deux faces et de deux couches par face) pour une capacité de 17 Go.

Pour conserver correctement son média (le disque enregistré), il est conseillé de le mettre dans une boite, à l'abri de l'air, d'une source de chaleur et de la lumière. Utilisez un feutre spécial DVD pour écrire sur les disques et de ne pas poser ses doigts sur la surface gravée. L'acidité des doigts peut attaquer la couche de protection et rendre les disques illisibles.

CREATIV-HT utilise l'évolution du DVD, le support média Blu-Ray de 25 Go qui est le meilleur compromis actuel au DVD (rapport qualité/prix)  :

  • Capacité de stockages plus importants (25 Go en simple couche au lieu de 4,7 Go pour un DVD-5 ou 8,5 Go pour un DVD-9),
  • Système de correction des erreurs plus fiable,
  • Couche de protection physique bien que plus fine et plus résistance aux rayures (0,1 mm contre 0,6 pour le DVD et 1,0 mm pour le CD),
  • Prix attractif entre le DVD-R et le DVD+R qui est voué à baisser avec les évolutions technologiques,
  • Durée de vie de plus de 30 ans selon les constructeurs,
  • Evolutivité: Actuellement en 6X mais bientôt 12X,...,
  • Contrairement à un disque dur ou SSD, le disque Blu-Ray est séparé du lecteur, ce qui signifie que si celui-ci tombe en panne, il suffit de changer de lecteur pour avoir accès aux données. Plus facile à transporter et stocker (une fois les données sauvegardées, il est en possible de les ranger dans un lieu séparé et sécurisé, coffre de sa banque par exemple).
  • Pour les disques Blu-Ray non réinscriptibles : solution adaptée pour des archives légales non modifiables (archive des logs, données comptables et juridiques,…),
  • Accessibilité d’un lecteur Blu-Ray externe USB (Exemple SAMSUNG SE-506AB) / Prix moyen inférieur à 90 € / Site WEB : http://www.samsung.com/fr/consumer/it/optical-disk/external-dvd-writer/SE-506AB/TSBD

DVD
Blu-Ray

DVD-R/DVD+R
DVD-R9/DVD+R9
BD-R 25
BD-R 50
Vitesse maximale
16x
8x
6x
6x
Capacité de stockage
4,7 Go
8,5 Go
25 Go
50 Go
Prix par disque
0,20 €
0,75 €
1,50 €
9 €
Prix au Go
0,04 €
0,09 €
0,06 €
0,18 €

Inconvénients: Solution non adaptée pour des sauvegardes de très grosses tailles (archiver plusieurs Téra octets : il faudrait utiliser 80 disques BD-R 25 ou 40 disques BD-R 50 pour 2 To d’archives sauvegardées).

3) Utilisation de disques optiques en verre gravé  (GLATZ : anciennement ESSILEX)

Cette solution est idéale pour de l’archivage à très long terme en utilisant comme substrat un disque en verre trempé et en ayant éliminé tout matériau organique ou oxydable.

 
Avantages :
  • Aucune contrainte d’environnement particulière pour sa conversion (résistance au toucher, à la lumière, et aux rayures d’usage courant),
  • Utilisation idéale pour des applications exigeantes d’archivage et de GED avec une garantie parfaite d’authenticité,
  • Le coût de conservation est faible (pas de consommation d’énergie),
  • Compatibilité avec des lecteurs DVD du marché,
  • Viabilité (grande pérennité :  plus de 100 ans,
  • Facilité à mettre en œuvre pour l’archivage (pas besoin de faire des sauvegardes ou migrations régulières des données en raison d’une fiabilité plus limitée des autres supports).
Inconvénients :  
  • Le prix plus élevé qu’un DVD ou Blu-Ray,
  • La concurrence sur un marché à fort potentiel - il faut rapidement pénétrer le marché sous peine d'être étudié et amélioré par des acteurs forts du marché malgré l’existence de brevets. (Exemple HD DVD abandonné par TOSHIBA au profit du Blu-Ray).
Axe de développement sous forme de services en mode SaaS: proposer un service d’archivage des données à vie pour les entreprises et le grand public. Un service attrayant pour conserver toutes ses données sensibles et les transmettre à ses proches.

Pour plus d’informations, visitez le site : http://glazt.com/index.php?lang=fr


dimanche 24 juin 2012

SSD ou HDD que choisir et pourquoi ?



HDD (hard Drive Disk) en français disque dur est une mémoire de masse qui sert à stocker et à conserver les données de manière permanente à la différence de la mémoire vive (RAM) qui s'efface à chaque redémarrage de l'ordinateur.

Un HDD est constitué d’une partie mécanique, d’une partie électronique (circuit pour piloter les têtes de lecture/écriture et communiquer avec le PC) et enfin une mémoire cache qui permet de stocker les dernières données lues.

Avantages : Prix économique au Go (un disque de 2 To se situe entre 80 et 120 €), des versions spécifiques existent pour l’audio-vidéo, l’entreprise, la mobilité, le bureau et stations graphiques (voir par exemple le constructeur Western Digital : http://wdc.com/fr/products/catalog/), de grandes capacités de stockage disponibles (en 3’’ ½ jusqu’à 3 To et en stockage mobile 2’’ ½ jusqu’à 1 To), le HDD est adapté au stockage en masse. 

Inconvénients : Bruyant et consommateur d’énergie (En moyenne 25 dBA en mode recherche et 1,4 W de dissipation de puissance en mode lecture/écriture pour du 2’’ ½ et entre 5 et 6 W pour du 3’’ ½), plus fragile (MTBF, résistance au choc) en raison des actions mécaniques (rotation de plateau, déplacement de tête, ..), le débit est moindre qu’un SSD.


Les disques SSD (Solid, Slate, Drive) ou en français disque à l’état solide sont des supports à mémoire flash, c’est-à-dire qu’il n’utilise pas de plateaux magnétiques.

Un SSD se composent d’un contrôleur mémoire, parfois secondé par un cache, et de puces NAND (pour la plupart MLC). Vouloir supprimer des fichiers implique d’effacer des cellules avant de pouvoir écrire d’autres données sur l’emplacement libéré. Cette opération nécessite donc une mobilisation de ressource qui parfois ralentie le fonctionnement du disque. Pour pallier à ce problème, Windows a mise au point une petite fonction qui se nomme TRIM afin de réaliser des opérations de maintenance lorsque le disque est inutilisé. 

Avantages: Ne chauffe pas, aucune pièce mécanique ou mobile, aucun bruit, aucune vibration, résistance au choc, Transmission et accessibilité des données plus rapide qu’un HDD (un temps d’accès de l’ordre de 0,1 ms avec un SSD contre 7 ms pour les meilleurs disques durs)

Inconvénients : Défaillance de quelques cellules mémoire au fil du temps contourné par la réservation de plusieurs Go par les constructeurs, les prix encore élevés pour des SSD performants, pas de solution idéale en SSD : un compromis pour de meilleures performances est nécessaire (plus de IOPS ou plus de taux de transfert selon le besoin).

Pour conclure :

Les SSD sont plus performants que les meilleurs disques durs et apportent des atouts indéniables.
Toutefois, selon les constructeurs la durée de vie limitée des cellules de mémoire flash ne dépasse pas 10 ans. Pensez à faire une sauvegarde de vos données et une image de votre système d’exploitation (backup de secours). Quelques recommandations dans la recherche de votre produit idéal (des critères de sélection) :
  • Le débit disponible (recommandation une interface Serial ATA 6.0 Gbps pour un débit de plus de 300 Mo/s),
  • La fiabilité (endurance des puces NAND utilisées : MTBF de 1 500 000 d’heures),
  • Le maximum d’opérations d’entrées/sorties par seconde (plus de 50 000 IOPS pour une meilleure réactivité en multitâches),
  • Le meilleur rapport qualité/prix (négociation personnelle).
Pour un ordinateur fixe : vous pouvez combiner un SSD très performant de 128 Go pour un démarrage rapide (système d’exploitation) secondé par un disque dur de forte capacité et performant (type Western Digital VelociRaptor par exemple).

Pour un ordinateur portable: vous pouvez remplacer votre disque dur actuel par un SSD de 128 Go plus performant et si votre finance vous le permet, choisissez un SSD 256 Go plus performant en lecture d’écriture et en capacité.

CREATIV-HT recommande actuellement le SSD PLEXTOR M3P 128 (170 € ou 256 Go à 300 €) :


La concurrence est forte avec des produits également de bonnes factures : OCZ, INTEL, SANDISK, CORSAIR, KINGSTON, SAMSUNG, CRUCIAL, …

Toutefois PLEXTOR reste mon coup de cœur du moment avec son contrôleur MARVELL 88SS9174 que l’on retrouve également chez d’autres constructeurs (Corsair P3, Corsair Performance, Crucial C300, Crucial M4, Intel SSD 510). 

PLEXTOR annonce également de futurs SSD avec une nouvelle génération de contrôleur :
  • Le MARVELL 88SS9187

Un débit en écriture annoncé à la limite de l’interface soit 500 Mo/s. Une mémoire Flash sur 8 canaux. Un cache mémoire pouvant atteindre 1 Go en DDR3, un algorithme ECC et une technologie de RAID interne destinée à apporter une tolérance de panne au niveau des puces NAND.

PLEXTOR a été notamment plébiscité dans le comparatif de HARDWARE.FR (Ci-dessous le lien du comparatif des SSD 128 Go sur le site de HARDWARE.FR) :

mardi 8 mai 2012

Comment protéger son véhicule automobile avec plus d’efficacité

La plupart des modèles de voitures actuels sont dotés de systèmes antivol de série, ces derniers restent toutefois peu efficaces contre des voleurs aguerris qui disposent de moyens technologiques très évolués facilités par la vente libre sur la toile mondiale du WEB (Internet) :
Des  outils de serruriers professionnels permettent d’ouvrir sans effraction des serrures de portières automobiles en moins d’une minute, des moyens électroniques sont à disposition pour reprogrammer le logiciel d’un véhicule et par conséquent désactiver le coupe circuit et démarrer le véhicule, des brouilleurs de GSM sont en vente libre pour rendre inopérant toute communication d’alarme,…

Une barre antivol au volant se tord et un volant se scie en 30 secondes. Les alarmes classiques sont facilement neutralisées, différents reportages de presse spécialisée le démontrent, les alarmes satellites GPS/GPRS  sont plus coûteuses (abonnement) et principalement réservés aux entreprises pour des applications de gestion de flotte de véhicules (localisation).
TRAQUEUR propose une offre à 764 € TTC hors pose avec  1 an d’abonnement

Les principaux types de vol : Car-jacking (piraterie routière), Home-jacking (vol avec violence à votre domicile) et Car-hacking (vol à la souris avec des boitiers électroniques)

La technologie la plus pointue n’est pas invincible. Alors que faire pour mieux protéger son véhicule :

  1. Lire attentivement votre contrat d’assurance pour s’assurer d’une vraie protection contre le vol (lire toutes les clauses et choisir en conséquence votre assureur).
  2. Mettre en œuvre des moyens dissuasifs et préventifs qui vont retarder le voleur :

PROTECTION SÉCU CARBONE 2  du réseau GLASTINT est  un retardateur d’effraction avec un film protecteur posé sur les vitres latérales du véhicule pour renforcer les vitres contre des agressions au volant (anti car-jacking) et des bris de glace. Le film protecteur protège des éblouissements et des ultraviolets et apporte  également plus de confidentialité (sécurise des regards indiscrets). http://www.glastint.com/solution.php?pour=auto&solution=0&trait=3


BLOCVOL, une centrale électronique avec installation électrique sur votre véhicule. BLOCVOL est une bonne parade contre le vol et simple à mettre en œuvre. Il n’intègre aucun moyen de communication vulnérable  face à un scanner (pas de carte, pas de transpondeur, pas de badge radiocommandé, pas de transmetteur, pas de liaison GPS/GPRS/ VHF).  Rien n’indique que votre véhicule est équipé d’une solution BLOCVOL et pourtant il est actif, et met automatiquement le véhicule en sécurité après 2 minutes.

Fonctionnement :
Quand vous montez dans votre véhicule, vous devez vous identifier. C'est la procédure d'identification qui consiste à se faire reconnaître par le BLOCVOL en tant que propriétaire. Pour s'identifier, il suffit de presser simultanément deux ou trois interrupteurs d'origine du tableau de bord. Les contacts d'identification sont personnalisables au moment de l'installation et spécifiques à chaque véhicule. Le système BLOCVOL agit à chaque fois que la portière est ouverte, même si le moteur est déjà en marche (Procédure d’identification simple et rapide à effectuer).  La sécurité n'intervient qu'après plusieurs cycles d'alertes. Tout d'abord, une minute trente secondes après le vol, trente secondes d'alerte sonore (bip) permette à l'utilisateur, en cas par exemple d'ouverture intempestive de sa porte, de s'identifier pour remettre BLOCVOL en veille. A l'issue de cette période, l'alerte visuelle (warning) et sonore (Klaxon) se déclenche pour trente secondes. A ce moment, le voleur abandonnera dans la majeure partie des cas le véhicule, jugé un peu trop indiscret. Si toutefois celui-ci persiste dans son vol, à l'issue de ces trente secondes, BLOCVOL maintiendra l'alerte visuelle et sonore, et coupera l'alimentation du véhicule de façon intermittente, pour le ralentir sans danger, sans perdre le contrôle des systèmes d'assistance (frein, et direction par exemple), obligeant le voleur à ranger le véhicule sur le bord de la chaussée. De plus les warning et le klaxon contribuent à alerter les autres usagers que ce véhicule est en difficulté, éliminant ainsi tout risque d'incident.
Vous retrouverez votre véhicule dans un périmètre moyen de 500 à 1500 mètres.
Si vous devez confier votre véhicule en révision, ou à une tiers personne, et ne souhaitez pas donner votre procédure d’identification, vous pouvez placer BLOCVOL en « MODE GARAGE » puis le réactiver ensuite.
Son prix est de 300 € TTC hors pose et 600 € TTC avec pose (sans abonnement et avec une garantie d’un an). Une extension de garantie de cinq ans est disponible en option pour 50 €. 
En précisant que vous venez de mon blog, l’extension de garantie vous sera offerte.

Ce système a eu de très bons échos de presse : Le Parisien, Management, Le Figaro, Autoradio Magazine, BM World, British Cars, Boost Tuning, 2.7, Echappement, Flat 6 Magazine, Option Auto, Sport Auto...

BLOCVOL est une entreprise française qui existe depuis dix ans (gage de pérennité) et son invention brevetée a été primée au concours Lépine 2003/2004.

BLOCVOL existe également pour protéger le vol des motos : BLOC VOL CARD au prix de 199 € TTC hors pose. Le connecteur accessoire est compatible plug and play ce qui facilite l’installation.

Pour terminer sur un nouveau produit BLOCBATT. Il est complémentaire à BLOCVOL automobile et apporte une protection supplémentaire contre le car-jacking :

BLOCBATT apporte une gestion de l’ampérage, un contrôle de la tension, bloque la batterie du véhicule et empêche, le démarrage du moteur en cas de vol.


Les dernières techniques de vol consistant à reprogrammer une télécommande ou l'électronique des véhicules sont ainsi mises en échec. BLOCBATT est un plus indéniable et aussi simple à installer que de remplacer une batterie.
Vente en ligne au prix de 169 € TTC

Pour plus d’informations sur BLOCVOLet BLOCBATT, vous pouvez contactez le PDG de l’entreprise : Marc SERS marc@blocvol.com ou être rappelé directement : http://www.blocvol.com/contactus.php

jeudi 3 mai 2012

DLNA : le réseau multimédia communiquant de la maison

Le DLNA (Digital Living Network Alliance) est un standard d'interopérabilité permettant la lecture, le partage et le contrôle d'appareils multimédia indépendamment de leur marque ou de leur nature.
De nombreuses sociétés leader sur le marché utilisent ce standard :

SONY, PHILIPS, NOKIA, PANASONIC, LG ELECTRONICS, HTC, MOTOROLA, MICROSOFT, ERICSSON, HP, CISCO, VERIZON, QUALCOM, BROADCOM, INTEL, DOLBY, DTS,…

La convergence multimédia avec le DLNA est de plus en plus présente sur le marché des appareils électroniques, des téléphones mobiles, des ordinateurs personnels, des périphériques informatiques et des opérateurs de services et de contenus.
DLNA utilise le protocole réseau UPnP basé sur le standard IPv4/IPv6 et la version UPnP AV est dédiée à la diffusion de contenu multimédia en réalisant quatres étapes :
1 - Une phase de découverte avec le protocole SSDP (Simple Service Discovery Protocol) pour avertir et échanger des informations sommaires de reconnaissance avec les autres équipements du réseau.
2 - Une phase de description est alors envoyée sous la forme d’un fichier XML qui contient des données plus précises : marque, modèle, numéro de série, version,…
3 - Une phase de contrôle des données transmises.
4 - Une phase d’échange continue avec le protocole SOAP (Simple Object Access Protocol) sous forme XML pour envoyer des commandes spécifiques et prévenir de son état à tous les équipements du réseau.

Un réseau DLNA nécessite un ou plusieurs DMS (Digital Media Server) qui va permettre de fournir aux autres équipements du réseau tout le contenu multimédia (images, musiques, vidéos).

Pour des tests vous pouvez utiliser les serveurs DMS suivants :
 - TWONKY http://my.twonky.com
- PS3 Media Server http://www.ps3mediaserver.org/
 - XBMC http://www.xbmc.fr/
- SERVIIO http://www.serviio.org/

Les équipements qui vont réceptionner le contenu doivent pouvoir le lire ou le diffuser simplement, ce sont principalement des récepteurs DMP ou DMC :

 - DMP (Digital Media Player) pour les appareils qui vont pouvoir lire les contenus diffusés par le ou les serveurs.
Exemple de DMP : Playstation 3 SONY, Xbox360 MICROSOFT, Freebox HD FREE,…

 - DMC (Digital Media Controller) pour les appareils qui agissent comme une commande à distance d’un serveur UPnP AV (Universal Plug and Play Audio Vidéo) en utilisant une partie du protocole UPnP.

Exemple de DMC : Appareil photo, Smartphone, Contrôleur Internet (CPE), ordinateur personnel,…

Il existe également les récepteurs suivants :
- DMU (Digital Media Uploader) : Appareil photo qui est capable d’envoyer des photos à un serveur DMS par exemple.
- DMD (Digital Media Downloader) : Smartphone qui récupère de la musique d’un serveur DMS par exemple.
- DMR (Digital Media Renderer) : Une enceinte diffuse directement de la musique ou un appareil photo affiche instantanément les photos prises.
- DMPr (Digital Media Printer) : Imprimantes qui va pouvoir imprimer des photos envoyées par un équipement certifié DMC (téléphone portable, appareil photo, …)

Trois Catégories (Class Devices) ont été créées pour séparer les équipements numériques de la maison, des équipements mobiles et des produits d’infrastructures réseaux.

- HND (Home Networked Devices): DMS, DMP, DMR, DMC, DMPr
- MHD (Mobile Handheld Devices): M-DMS (Mobile Digital Media Serveur), M-DMP (Mobile Digital Media Player), M-DMC (Mobile Digital Media Controller), M-DMU (Mobile Digital Media Uploader), M-DMD (Mobile Digital Media Downloader)
- NID (Networked Infrastructure Devices): MIU (Media Interoperability Unit), M-NCF (Mobile Network Connectivity Function)

Pour conclure, DLNA englobe de nombreux produits numériques pratiques qui facilitent la vie de tous les jours comme les ordinateurs ultra portables, les tablettes tactiles, les Smartphones 3G et bientôt 4G, les appareils photos numériques, les caméscopes digitales, les magnétophones numériques, les GPS portables, les bipeurs numériques,…

Si vous devez acheter un nouvel appareil numérique pour votre bureau ou votre maison, cherchez le logo DLNA ou contrôler sa présence sur le site DLNA.org :
http://www.dlna.org/consumer-home/look-for-dlna/product-search  

Ma sélection de quelque produits DLNA :  
Téléviseur SAMSUNG UE55ES8000SXZF
http://www.samsung.com/fr/consumer/tv-audio-video/tv/3d/UE55ES8000SXZF-features
 

Appareil photo SAMSUNG SMART CAMERA WB850F http://www.samsung.com/fr/consumer/camera-camcorder/compact-cameras/performance/EC-WB850FBPBE1

Imprimante Multifonction Couleur SAMSUNG CLX-3185FW http://www.samsung.com/fr/consumer/it/color-multifunction-devices/color-multifunction/CLX-3185FW/SEE  

Amplificateur DENON AVR-3312 http://www.denon.fr/fr/Product/Pages/Product-Detail.aspx?Catid=HomeTheatre&SubId=AVReceivers&ProductId=AVR3312  

Serveur NAS SYNOLOGY DS411slim http://www.synology.com/products/spec.php?product_name=DS411slim&lang=fre#p_submenu

dimanche 8 avril 2012

Développer son site WEB


CREATIV-HT offre dans son blog ses commentaires et son savoir-faire à tous. Toutefois ce qu'on sait le mieux faire pour les autres, on le néglige en général pour soit. Cas de mon entreprise.

Développer un site WEB est un vrai projet qui mérite une étude approfondie afin de définir ses objectifs. Pour cela,il faut se poser de nombreuses questions :

- A qui s'adresse le site internet ?
- Quel type de contenus souhaités vous intégrer pour définir le type de site ?
- Connaissez vous la concurrence, Comment est réalisé la communication ?
- Quel est votre objectif et votre positionnement ?
- Quel budget estimatif ?

L'étude technique détaillée du projet et de ses fonctionnalités permet de planifier chaque étape dans un planning de tâches et les rôles. Intégrer dans l'échéancier une latitude pour les essais visuels : Demandez plusieurs maquettes graphiques pour trouver la plus belle identité visuelle. L'univers graphique qui vous caractérise (logos, couleurs, typos, présentations,...)

Pour développer un site WEB dynamique, je recommande d’utiliser un outil de CMS (Content Management System), en français SGC (système de gestion de contenu) pour organiser et gérer intégralement l’apparence et le contenu de votre site Web.


Le contenu indique des données et programmes : images, vidéos, musiques, textes, documents, applications,…

Les données sont stockées et récupérées dans une base de données. Principalement MYSQL (90% des CMS) mais on trouve aussi en PostgreSQL, FirebirdSQL,…

Le CMS est une solution technique permettant facilement de publier, mettre à jour et administrer votre site WEB en conservant la maîtrise de son convenu via une interface intuitive et performante.

Ci-dessous 17 acteurs CMS de l’OPEN SOURCE avec les liens :

- JOOMLA (http://www.alteaconseils.com)
- MAMBO (http://mambo-foundation.org)
- DRUPAL (http://www.drupal.org)
- SPIP (http://www.spip.net)
- WORDPRESS (http://www.wordpress-fr.net)
- OPENCMS (http://www.opencms.org/en)
- DOTCLEAR (http://fr.dotclear.org)
- PIM CORE (http://www.pimcore.org)
- SILVERSTRIPE (http://www.silverstripe.com)
- CONTAO (http://www.contao.org/en)
- MAGNOLIA (http://www.magnolia-cms.com)
- LIFERAY (http://www.liferay.com)
- MURA (http://www.getmura.com)
- CONCRETE5 (http://cms.concrete5.fr)
- AMETYS (http://www.ametys.org)
- ALFRESCO (http://www.alfresco.com/fr)
- GUPPY (http://www.freeguppy.org)




Importance de l’accessibilité
:

Le site WEB doit respecter les standards WEB édités par le W3C : capacité du site WEB à être consulté sur tous types de plateformes => optimisation du code source, meilleure ergonomie et qualité du site.

L’internaute doit pouvoir s’orienter vers un site classique ou un site mobile selon son environnement. Un site WEB est de plus en plus consulté via de multiples supports : smartphone (androïd, windows phone, ios, RIM blackberry), les tablettes interactives (android, ios, RIM blackberry),...


Android ayant plus de 50% du marché des smartphones. Plus de 1,45 millions de tablettes tactiles ont été vendues en 2011. Dans le monde on compte plus de 50 millions d'utilisateurs et plus de deux millions pour la France. Le leader actuel est APPLE avec l'IPAD.


Les principaux langages utilisés :

- Le PHP : langage de scripts généraliste et open-source, spécialement conçu pour le développement d’applications web et le plus répandu.
- XHTML et CSS : pour présenter les informations à l’écran et les mettre en page
- DOM et JavaScript : moyen pour interagir dynamiquement sur l’interface ( sans recharger la page)
- XML et XMLHttpRequest : Échanger et manipuler des données de manière asynchrone sur un serveurhttp://www.blogger.com/img/blank.gif

Référencement :

- Choix des mots clés (optimisation des requêtes selon le site WEB)
- Sélection des moteurs et annuaires
- Référencement manuel pour obtenir les meilleurs résultats possibles
- Optimisation du plan de site pour les robots (faciliter l’indexation)
- Vérification et relance des référencements
- Création et référencement dans les réseaux sociaux avec lien avec votre site WEB pour tous les articles publiés et informations diffusées.

Pour toutes informations complémentaires nous contacter: contact@creativ-ht.com

dimanche 1 avril 2012

Rationalisation des coûts et Green IT

La plupart des entreprises souhaitent optimiser les coûts en période de crise. On parle alors de rationalisation des coûts.



La définition exacte de rationaliser signifie « organiser la combinaison optimale des moyens dont on dispose pour atteindre un objectif défini ».

Que pouvons-nous rationnaliser dans une entreprise ?

Beaucoup de choses. C’est avant tout un état d’esprit à faire partager pour faire des économies de bon sens mais également des rationalisations technologiques qui nécessitent un œil externe d’experts qui doit disposer des atouts suivants :

- Une expérience éprouvée de projets de rationalisation (des références)
- Une compétence pédagogique pour sensibiliser et aider au changement.
- Un esprit d’analyse et de synthèse pour faciliter les décisions
- Un accompagnement pendant toute la durée de vie du projet
- Une approche globale
- Un savoir-faire financier pour démontrer les économies et le seuil de retour sur investissement



J’ai listé une vingtaine de postes non exhaustifs sans les classer (L’importance des postes est fonction de l’entreprise et de son organisation) :

L’impression / L’informatique / La téléphonie / La production / La logistique / La paye / Les frais / La gestion des documents / La gestion des ressources humaines / Les achats / Les ventes / Les consommations (électriques, chauffages,..) / La communication / La formation / La localisation physique des employés / La recherche et développements / Le temps de travail / La gestion relation client / Les investissements / Les externalisations

Deux exemples avec les frais et les ressources humaines

Les frais sont des postes de dépense importants dans les entreprises. Il est possible de les rationaliser sans intervenant externe selon les indications suivantes :

- Rogner les coûts
- Autoriser un repas d’affaire en fonction des revenues perçues par l’entreprise
- Lors de réunion interne diminution ou suppression des petits déjeuners ou déjeuners
- Suppression des frais de représentations, manifestions non stratégiques (séminaires, challenges, salons, expositions,…)
- Réduire au maximum les nuitées d’hôtels et les cadeaux de fin d’année
- Un contrôle plus assidu des temps productifs et improductifs, des notes de frais (des déplacements et distances réalisées)
- Optimiser les déplacements indispensables (organiser des tournées pour diminuer les kilomètres et améliorer les temps productifs).
- Mise en place de contrat en télétravail avec rapport hebdomadaire (économie d’un poste et réduction del'empreinte carbone)
- Minimiser les déplacements au strict minimum (1er rendez-vous et signature) et valoriser par des technologies d'audioconférence ou vidéoconférence en aidant au changement des habitudes.
- Réduire les documents publicitaires tout en maintenant l’image de marque de l’entreprise (même couleur, même formatage), valoriser l’usage des réseaux sociaux, des référencements mots clés, d’une communication unifiée,…

En moyenne, on estime une réduction minimum de 25 % des frais.

La gestion des ressources humaines est un poste ou il est possible de rationnaliser également en période de crise sans intervenant externe en :

- Privilégiant les emplois non rémunérés (stagiaires)
- Pas de renouvellement des CDD et certains intervenants externes (sous-traitants)
Gel des embauches

Toutefois, une expertise est parfois nécessaire allant du conseil à l'intégration de systèmes et de solutions :

- Effectuer une étude pour cerner les problèmes liés aux rôles, aux responsabilités et aux mécanismes de la gestion des ressources humaines et les changements nécessaires dans un environnement qui évolue rapidement.
- Anticiper et gérer les évolutions : Aider à la décision et au pilotage, évolution des structures et des organisations, évolution des Hommes (guider les collaborateurs vers l’excellence)
- Décentraliser les Ressources Humaines (impliquer le management, piloter la politique de rémunérations, individualiser les RH, communiquer les valeurs de l’entreprise…)

Pour terminer, je voudrais faire un point sur l’énergie où nous avons des améliorations actuelles et futures. Le nombre de bureaux qui restent allumés, des ordinateurs connectés, des adaptateurs branchés sur les prises de courant,…
Il est important de responsabilisé les entreprises et les hommes aux économies d’énergie.

Une profonde réflexion dans la réduction des consommations énergétiques que nous pouvons réaliser individuellement et en collectivité :

- Equipements plus performants et à plus faible consommation (green energy)
- Virtualisation des serveurs et monitoring de la consommation électrique (salle informatique mais également en 'DATA CENTER'
- Solution de monitoring énergétique des postes de travail
- Contrôleur « Smartgrid » avec Technologie Zigbee pour superviser et administrer l’énergie.
- Des fonctions veilles sans consommation sur certains produits
- Des éclairages en Leds avec détecteur de présence
(…)



Le point positif constaté est une meilleure sensibilisation aux bonnes pratiques écologiques pour :

- le tri sélectif
- l'utilisation de papier recyclé pour l'impression
- la compréhension du GREEN IT (développement durable pour une informatique consciente)

samedi 31 mars 2012

Préparer sa communication par le WEB

Pour communiquer sur Internet, il faut se poser au minimum six bonnes questions :

- Les cibles à atteindre
- La localisation des cibles
- La concurrence (analyse du marché)
- Type d'activité envisagé (permanente, saisonnière)
- Mes atouts (points forts)
- Mes objectifs précis



Selon les réponses une stratégie de communication va pouvoir se structurer avec une démarche quantifiable (des indicateurs de performances ou KPIs (Key Performance Indicators) afin de mesurer graduellement le ROI (retour sur investissement ) à la fois de la stratégie de diffusion dans sa globalité mais aussi des tactiques de diffusion dans le détail.

Exemple : Google Analytics (Outil de mesures d’audiences choisis avant tout pour sa fiabilité)

Les indicateurs de performances permettent de confirmer ou d'orienter nos décisions.

Les outils disponibles sur la toile :

Le site Internet

Il doit répondre à quatre critères :

- Bon référencement (mots clés et publication)
- Bon format (adaptés à tous types de support : mobiles, tablettes, ordinateurs)
- Bonne navigation (fluide, intuitive et moderne)
- Bonne dynamique (actualisations et actions : événements, news, presse, images,...)

les blogs (les plus visités et éventuellement un blog dédié)



Rédiger des articles sur des blogs et les relayer sur les réseaux sociaux (facebook, twitter, etc...) afin d’animer votre communauté.

Les réseaux sociaux : Importance de soigner sa communication et sa réputation (e-réputation), rester en veille sur vos concurrents, vos clients, et anticiper les communications.



- Les principaux : LINKED IN, VIADEO, XING, FACEBOOK, TWITTER
- Étudier l'impact des nouveaux comme 1000Busy.com
- Les tendances pour la géolocalisation : Foursquare et Gowalla

Utiliser des outils pour créer un buzz :
http://www.blogger.com/img/blank.gif
- Opération de marketing viral : les ingrédients du bon buzz sont la cohérence avec le service proposé, humour décalé, simplicité du message et une promesse tenue.

Exemples de buzz non exhaustifs :

- Création d'une vidéo et diffusion via Tubemogul :
http://www.tubemogul.com



Tubemogul permet d’uploader simultanement des vidéos sur les 8 principales plateformes du net (YouTube, Revver, Metacafe, MySpace, Yahoo!, Uncut, Kewego, Dailymotion).

- Créer un jeu gratuit à stratégie virale en lien avec votre actualité.

- Des opérations de street marketing, carlogo (communication sur automobile) : ATTRACTEAM est un spécialiste à recommander => http://www.attracteam.com

- Une communication dans les médias du WEB : les spécialisés selon votre domaine d'activité, les gratuits (20 minutes, Métro,..). Sans oublier REUTERS et l'AFP qui alimentent la plupart des informations gratuites et payantes.

- Une communication ciblée avec d'autres sites WEB(échanges de banderoles, partenariats,...)

- (....)

Organiser sa communication passe par des étapes importantes : Lister les outils disponibles et analyser leur efficacité, définir le retour sur investissement souhaité, définir son budget de communication sur Internet, organiser sa stratégie de communication sur 1 an et enfin bâtir son plan de communication Internet.

Pour conclure,communiquer efficacement sur le WEB nécessite :

- Une démarche globale : définir son budget et ses objectifs
- Choisir les outils les mieux adaptés
- Définir dès le départ des critères de mesure
- Lancer ses opérations au bon moment
- Mesurer et analyser les retours
- Rester en veille sur son marché
- Réfléchir à l’opportunité de communiquer en partenariat ou groupés : plus économique et plus d'efficacité (meilleur impact)